Mental 13 Lyrics – 13 Organisé Ganlyrics

Mental 13 Lyrics by 13 Organisé is a latest French song in the voice of 13 Organisé. Its music too is composed by singer while brand new Mental 13 song lyrics are also written by 13 Organisé. This is a popular song among the people of United States of America. In Mental 13, 13 Organisé delivers raw, street-heavy lyrics about life in the tough neighborhoods of Marseille. The track focuses on survival, hustling, and staying sharp in a world filled with betrayal, crime, and ambition. With references to local culture, criminal life, and personal experiences, the song emphasizes the mental resilience required to thrive in this environment. The chorus highlights evading the police, zoning out in the streets, and the constant search for direction. It’s all about loyalty, ambition, and navigating the struggles of street life while keeping a strong mindset.

[Intro – TK]
J’suis en lieutenant, en VRK (Okay)
En TP, ???
J’suis en lieutenant, en VRK (Okay)
En TP ???

[Couplet 1 – TK]
J’peux pas les cala, ils sont pas contents (Okay)
T’es comme une ex, j’te donne pas mon temps (Okay)
Mais merde, attends, chérie, reviens, j’faisais le con
Oui mon gâté
J’arrive comme un mec d’enville culotté

Trente points dans le dressing, zéro de côté
Pas ouehda, serein en train d’siroter
J’ai des potos cramés, tah les bandits cartel
Tu peux finir patron à la base tu cartais
Tu peux finir rappeur, t’étais dans les lamelles, j’me rappelle
J’cassais ma cliente, ??? ses appels
J’suis en Stone Island ma jolie
Clin d’œil, j’la fais rigoler
Bouteille, j’la fais picoler
Demain, personne se connaît
Non, ne fais pas l’étonné
On t’a cramé, fais pas cette tête
T’as critiqué en traitre
T’es le FDP que tu penses être

[Couplet 2 – So La Zone]
La rue m’appelle So La Zone, c’est la zone (Ouais, ouais, ouais)
J’t’insulte tes morts, j’en rigole, grosse folle (Ouais, ouais, ouais)
Même cassées, j’ai les dents longues, elles rayent le sol (Ouais, ouais, ouais)
DZ déter solidaire, tout le monde s’affole (Ouais, ouais, ouais)
Ils aiment s’vanter de ce qu’ils n’ont pas
Tu les écoute, c’est tous des Zampa
C’est ceux qui parlent qui ne le font pas
J’les vois comme des Bianca
Vatos, criminels, king

Mauvais dans l’bien, on est meilleur dans l’pire
On fait TB la night, train de vie de vampires
On construit un empire, oui ma gâté

[Couplet 3 – Missan]
J’suis la rue comme Erwin et Pollo
Centre ville Guy tu connais le noyau
Viens nous voir si tu la veux en caillou
Merci le J d’avoir fait tourner le yo-yo
Ça se propage comme une bactérie
J’suis tah ???, j’grattais sur le Blackberry
J’reste dans la zone, je porte pas d’klawis
Oui, lui je le v-esqui, j’aime pas trop ses blagues ???
Ça part gratter jusqu’à Nancy
J’ai mon Kbis, que ça blanchit
Vive la musique, vive le teuchis
VVL, c’est les affranchis

[Couplet 4 – JUL]
Droit le T-Max vers les Catalans
J’suis dans l’move, on se dit en cas, à t’à l’heure
La loi du 13, faut qu’tu tiennes ta langue
Parler sans rien faire, ça n’a pas d’valeur
J’rappe le réel et ça depuis des millénaires
J’ai le démon, sur l’instru j’ai mis mes nerfs
Va leur dire que dans la coke moi j’ai pas mis le nez
Plein de poussettes de bon matin, ces bâtards m’ont mis le mof
Mira, mira, mira, regarde le pélican, il avait tout pour lui
Regarde comme il est con, lasciatemi cantare
La frappe dans l’pantalon, le buzz, la mentale et c’est chacun son talent
DP, sharké sur la Honda, qu’est-ce qu’il y a t’es bizarre, qu’est-ce qu’y a hombre
Technique crochet à la Didier Drogba
10 ans que je suis là, combien j’en ai vu sombrer?
T’as vu, je leur fait faire le signe JuL même aux condés
Ça veut monter sur l’autre et le démonter
Tout ça pour s’vanter, tout ça pour s’montrer
Finir aux Baumettes, à Luynes ou au Pontet

[Refrain – JUL]
Andale, sur un stunt j’esquive la banal’
Faut pas qu’j’cartonne, j’fais mon coffrage et j’me taille
J’sors du quartier capuché, mental 13 Organisé
J’ai zoné toute la journée, à plus savoir où aller
Andale, sur un stunt j’esquive la banal’
Faut pas qu’j’cartonne, j’fais mon coffrage et j’me taille
J’sors du quartier capuché, mental 13 Organisé
J’ai zoné toute la journée, à plus savoir où aller

[Couplet 5 – YL]
Écoute moi petit con
J’rappe depuis les barrettes de com’
J’rappe, j’rappe depuis les barrettes de spliff
J’veux me barrer d’es-pi, j’ai pas encore un million sur l’compte
Mais j’pourrais mettre un minot dans l’coffre, me manque pas d’respect
On fait que flirter, on baise pas, reconnu d’Air-Bel à bés-Bar
Depuis l’époque, la hess m’a traumatisé, traumatisé trop facilement
Trop facile, je te prends ton Vespa
Un vécu d’barbare, frappé comme Barbeuk
C’est des grosses kharba quand ils sniffent pare-balle
J’anticipe par l’bleu, remercie l’cartel
J’ai me comm’, ma bar, ma cam’, elle fait comme Larlar
Alicante, Wahran, marico d’l’année
Jerricane, kalash, trafiquant d’la neige, gang, gang

[Couplet 6 – Soso Maness]
Ça te pète la citrouille et c’est pas Halloween
Après ??? le jour de l’Aïd
Les zombies, les clings, y’a plus d’différences
Depuis qu’dans le s*it, on mélange kétamine
J’ai vu ce p’tit aller à l’école
Craintif d’finir exécuté sur Télégram
C’est fait, on peut pas revenir en arrière
Même en pleurant un océan de larmes
T’as reconnu sous la cagoule, c’est JuL
J’ai bippé les potes dans 5 minutes chez toi on déboule
Ça vient du 13014 y’a céramique à la fouill
od blend
???

[Couplet 7 – Kamikaz]
Opinel dans la Redskins
Je sais pas si ça en vaut la peine, fils
Ça veut du bénéfice, le salaire à Memphis
Ça veut des clings, investis dans la pierre, le biz
Des vingt, des dix, que du cash, pas de N26
T’aventures pas si tu maîtrises pas
J’aime pas celui qu’abandonne, poto j’préfère le frérot qui s’bat
Faut viser haut, t’arrives à rien si tu vises bas
Gros, on est cramé comme Dieudonné dans une bar-mitsvah
Le bolide part du cul, on aime accélérer
Avant d’encaisser, sa mère, la pute, on a galéré
Dans le vrai, plus tu les fais trembler, plus ils vont te vénérer
Ça zone broliqué sur un Ténéré, boy

[Couplet 8 – Elams]
Oh, Battistu, fais l’con, ça t’nique ta race, c’est simple agh’capitu
C’est le E comme d’habitude
Sur la vie d’mes gosses, qu’on va leur mener la vie dure
Marseille comme Amine Harit, ça roule en stunt, rêve du Ferrari
Mais j’préfère simple que quand tu t’maquilles
J’les fais, j’pars au bled ou dans le maquis
Fu*k les BDH, qui parlent c’est des rageux
J’leur enfonce mon majeur, j’les prends dans la cage (Ouais ouais ouais)
Fu*k les BDH, qui parlent c’est des rageux
J’leur enfonce mon majeur, j’les prends dans la cage (Ouais ouais ouais)

[Refrain – JUL]
Andale, sur un stunt j’esquive la banal’
Faut pas qu’j’cartonne, j’fais mon coffrage et j’me taille
J’sors du quartier capuché, mental 13 Organisé
J’ai zoné toute la journée, à plus savoir où aller
Andale, sur un stunt j’esquive la banal’
Faut pas qu’j’cartonne, j’fais mon coffrage et j’me taille
J’sors du quartier capuché, mental 13 Organisé
J’ai zoné toute la journée, à plus savoir où aller

Mental 13 Lyrics Meaning

[Intro – TK]
In the intro, the artist introduces himself as a lieutenant, signaling his rank or status in the streets. “VRK” and “TP” likely refer to local slang or street codes, though their exact meaning isn’t clear. The vibe is one of being ready for action, possibly setting the stage for the struggles and lifestyle he’s about to describe.

[Couplet 1 – TK]
In this verse, TK talks about cutting off people who aren’t happy with him, comparing them to an ex he no longer gives time to. He reflects on making mistakes but brushes it off, calling his girl back playfully. He speaks with confidence, flaunting his bold style and carefree attitude, whether it’s how he dresses or drinks. He acknowledges friends who are deep in crime, highlighting how anyone can rise from a hustler to a boss, or even from the streets to a rapper. He mentions past struggles with clients and how he now makes people laugh while keeping things casual. He exposes a fake friend who criticized him behind his back, calling them out for being exactly the traitor they tried to hide.

[Couplet 2 – So La Zone]
So La Zone starts by saying the streets call him, and he owns that identity. He mocks people who brag about things they don’t have, comparing them to fictional or inflated figures like Zampa. He emphasizes that those who talk the most are often the ones who don’t follow through, and he views them as weak, comparing them to people who play roles instead of living them. He presents himself as someone who’s good at being bad, thriving in a rough lifestyle. They spend nights like vampires, partying and scheming to build an empire.

[Couplet 3 – Missan]
Missan connects himself to the streets, comparing his loyalty to iconic figures, saying he’s part of the city’s core. He invites others to join him in his hustle, especially if they’re looking for drügs. He references his rise from street-level work to a more organized setup, showing how the hustle spreads like a disease. He reflects on the past, mentioning how he used to operate off a Blackberry and now stays true to his zone. He also emphasizes that his connections have helped him succeed, cleaning his money and thriving with music and weed.

[Couplet 4 – JUL]
JUL kicks off by referencing a scooter ride toward the Catalans, a neighborhood in Marseille, and the fast-paced street life he’s part of. He stresses the importance of staying silent and doing things rather than just talking, as actions speak louder than words. He’s been rapping about real life for years, and he unleashes his anger on the beat. He mentions how, despite being surrounded by drügs, he’s kept his distance from coc*ine. He humorously compares someone’s downfall to a foolish pelican that had it all but threw it away. He name-drops Didier Drogba, referencing his precise technique and the years he’s seen people fall off in the game. Even the cops make the JuL hand sign. He mocks people for tearing others down just to show off, warning that this path often leads to prison.

[Refrain – JUL]
In the chorus, JUL paints a picture of escaping trouble by pulling stunts on a motorbike, evading the police. His mind is in survival mode as he leaves the neighborhood in a hoodie, representing the 13 Organisé mindset. He’s been drifting through the streets all day, aimlessly searching for direction while staying alert.

[Couplet 5 – YL]
YL speaks directly to a younger, inexperienced person, warning them not to underestimate him. He has been rapping since dealing drügs and smoking weed. Though he’s not a millionaire yet, he still commands respect, saying he could hide a kid in a car trunk if needed. His experiences with poverty and hardship have left him traumatized, and he’s willing to take what he wants, like stealing a Vespa. He paints a picture of a gritty, brutal life, where people get reckless while high. He’s grateful to the cartel for helping him out, as his business keeps him afloat.

[Couplet 6 – Soso Maness]
Soso Maness talks about the harsh realities of life, saying things can get violent and chaotic, especially after events like Eid. He mentions how drügs are being mixed with dangerous substances like ketamine, which messes with people’s heads. He talks about seeing kids going to school while being aware of the grim reality that some may face execution orders over petty things. Despite the darkness, they push forward, and he reveals that under his mask, it’s JuL—signaling their unity as part of the same crew.

[Couplet 7 – Kamikaz]
Kamikaz talks about carrying a knife (Opinel) inside his jacket and questions whether all the struggles are worth it. People around him are chasing profit, wanting a big payday, while trying to avoid digital payments, preferring cash. He doesn’t respect those who give up and values fighters who keep going despite the odds. He highlights that aiming low won’t get you far, and compares himself to Dieudonné, a controversial figure, saying they’ve been blacklisted but still keep going. The tougher the situation, the more they’re respected, and the street life only makes them stronger.

[Couplet 8 – Elams]
Elams starts with a warning, saying that messing around can have serious consequences, making it simple and direct. He talks about how, just like always, they’re going to make life hard for their enemies. He compares his crew’s behavior to rolling through the streets of Marseille on a motorbike like footballer Amine Harit, dreaming big but keeping it simple. He dismisses haters, pushing back against them with aggression and emphasizing that he won’t let them win, all while staying loyal to his gang and living by the code of the streets.

[Refrain – JUL]
The chorus repeats, reinforcing the idea of navigating through the chaos of street life by being smart and quick. JUL again describes dodging the police on a stunt, escaping trouble, and wearing a hoodie to represent the mentality of being organized, resilient, and always on the move, unsure of where he’s headed but determined to survive.